Les carrières d’aujourd’hui, ce sont les paysages de demain. Étendre les carrières c’est favoriser encore plus l’expansion du maraîchage industriel qui a besoin de sable.

En effet le sable est un matériau qui n’est pas cher, mais qui est lourd : plus on va le chercher loin, plus il coûte cher.

Alors des paysages de gigantesques trous d’eau en lien direct avec la nappe phréatique ouverte à toutes nouvelles pollutions et qui seront masqués par de gros merlons ou des rideaux d’arbres qui vont crever : ça vous tente?

Soulignons aussi que l’entretien de ces espaces ne sera plus assuré par les carriers après leur exploitation.

Et en plus ils seront entourés par du plastique, du plastique et encore du plastique des maraîchers industriels…

Voilà nos paysages pour demain, si on ne fait rien.

Alors, si on réfléchissait un peu avant de (re)creuser ?